ATTENTION AUX
CORRECTIONS:
·
À CAUSE DE + SUBSTANTIF ET PAS À CAUSE DE QUE
À CAUSE DE + SUBSTANTIF ET PAS
·
C’EST COMME S’IL N’AVAIT PAS DE SENTIMENTS. ( ET PAS C’EST COMMENT S’IL ….)
·
ÊTRE ,
ALLER..
o
EN
PRISON
o
EN
VACANCES
o
EN France…..
( PAYS FÉMININ )
o
À L’ÉTRANGER
o
À +
VILLE
·
SI + IMPARFAIT COMME S’IL N’AVAIT PAS COMMIS LE CRIME( HYPOTHÈSE CF LE BLOG )
N’OUBLIEZ PAS LA CHANSON «
SI J’ÉTAIS PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE…..)
·
DANS
CETTE ŒUVRE IL UTILISE UN LANGAGE
QUOTIDIEN
·
ELLE
LUI PLAÎT (PLAIRE
À QUELQU’UN )
·
ELLE
LUI DEMANDE (DEMANDER À QUELQU’UN)
·
ELLE
L’AIDE (AIDER QUELQU’UN )
·
ATTENTION :
o
UNE VESTE EN
CUIR
o
UN
T-SHIRT EN COTON
o
LA
VAISSELLE EN ARGENT…. ET PAS
DE
·
PIENSO
LO MISMO QUE TÚ : JE PENSE LA MÊME
CHOSE QUE TOI
·
EMPATIZAR:
SYMPATHISER AVEC QUELQU’UN , S’IDENTIFIER
AVEC QUELQU’UN
·
J.VALJEAN
A PASSÉ 19 ANS AU
BAGNE
·
MEURSAULT
EST CONDAMNÉ À MORT
·
AL
CONTRARIO QUE : CONTRAIREMENT À
·
CE
ROMAN EST ÉCRIT À LA PREMIÈRE PERSONNE.
·
UN
JUGE : UN JUEZ / UN PROCÈS : UN JUICIO
·
EMPEZARÉ A HABLAR : JE COMMENCERAI À PARLER DE ( ET PAS :JE COMMENCERAI EN
PARLANT )
·
L’ATTITUDE ET PAS L’ACTITUDE
·
ACQUÉRIR : ILS ACQUIÈRENT , ILS ONT ACQUIS
·
AL FINAL DE LA VIDA : À LA FIN DE LA VIE
·
BIEN QUE + SUBJONCTIF
·
IL A LE MÉRITE DE + INFINITIF
·
IL ESSAIE TOUJOURS D’ÊTRE UN HONNÊTE HOMME ( ET PAS TOUJOURS IL ESSAIE D’ÊTRE…)
·
AL MISMO TIEMPO : EN MÊME TEMPS.
CORRECTIONS FRÉQUENTES:
·
DE NOS JOURS : ( EN
NOS JOURS NE SE DIT PAS .)
·
LA PLUPART D’ENTRE EUX ( LA PLUPART D’EUX NE SE DIT PAS .)
·
POUR CONCLURE
·
LES PERSONNES ÂGÉES.
· ANCIEN : ANTIGUO. ON NE DIT PAS LES PERSONNES ANCIENNES.
·
SABEMOS TODOS QUE…… : NOUS
SAVONS TOUS QUE….
·
INTERNET : on utilise ce
mot sans article
·
EN VERANO : EN ÉTÉ, EN HIVER,EN AUTOMNE ,AU PRINTEMPS ( DANS L’ÉTÉ NE SE DIT PAS .)
·
HACER UNA
PREGUNTA : POSER UNE QUESTION
·
REIRSE DE ELLA: SE MOQUER
D’ELLE. JE RIS ET PAS JE ME RIS
·
TOMBER ET PAS SE TOMBER : JE SUIS TOMBÉ ET JE ME SUIS BLESSÉ
·
·
D’UNE
PART / D’AUTRE PART
·
D’UN
CÔTÉ/ D’UN AUTRE CÔTÉ
·
ATTENTION AUX POSSESSIFS : SES
LEURS
o
IL VOYAGE DANS SA VOITURE AVEC SES AMIS.
o
ILS VOYAGENT DANS LEUR VOITURE AVEC LEURS AMIS.
·
ATTENTION AUX PRONOMS COMPLÉMENTS :
o
JE
LUI DEMANDE
o
JE
LUI PARLE
o
JE
LUI FAIS
o
JE
LUI AFFIRME
o
JE
LUI RÉPONDS
o
JE
LUI DIS
o
JE
L’INVITE
o
JE LA
VOIS
o
JE LE
REGARDE
o
JE LE
CRITIQUE
o
JE
L’AIME
o
JE LA
CONNAIS.
·
DIFFÉRENCE
D’AUTRES / DES AUTRES
OTRO/A UN /UNE
AUTRE
(siempre artículo en francés, salvo otra cosa ¿quieres otra cosa? tu veux autre chose?
Quiero otro
libro: Je
veux un autre livre
Busco otra
solución: Je
cherche une autre solution
Quiero otros libros : Je
veux d’autres livres.
Otras soluciones son válidas: D’autres
solutions sont valables.
NO CONFUNDAS: D’AUTRES= OTROS
DES AUTRES= DE LOS/LAS OTROS/OTRAS.
Toma este lápiz, tengo otros = Prends ce crayon, j’en ai d’autres.
Hay que respetar las ideas de los otros = il faut respecter les idées
des autres.
El artículo determinado se utiliza como en castellano: :
PREFIERO EL OTRO LIBRO=
JE PRÉFÈRE L’AUTRE LIVRE.
CONFIRMER :
·
C’est
probable, c’est vrai
·
Effectivement/
en effet
·
Sans
aucun doute
·
Sûrement
/ certainement
·
Bien
sûr
DÉMENTIR :
·
Absolument
pas
·
Ce
n’est pas le cas
·
En
aucun cas
·
Pas
du tout
·
Pas
vraiment
VOCABULAIRE :
·
Un
alto valor moral : une grande valeur morale ( haut para un objeto )
·
Relacionarse : fréquenter des gens.
· Le caigo
bien : il m’aime bien, il me trouve sympathique.( ET PAS JE LUI TOMBE BIEN)
·
Plaire :
gustar ce livre me plaît, me plaira,
me plaisait, m’a plu.
·
Susciter
l’intérêt du lecteur, une mesure qui
suscite des protestations, sa réussite
lui a suscité des problèmes et des envieux.
·
Tiene mas o menos 30 años : il a environ, à
peu près 30 ans
·
Como
mínimo : au minimum
·
IL EXISTE BEAUCOUP DE QUESTIONS QUE NOUS POUVONS
NOUS POSER
·
EXPRESSIONS
AVEC RENDRE Esto
hace la historia mas interesante : cela REND l’histoire plus intéressante
et pas cela fait l’histoire `………….. ( cela me rend malade, triste …….)
·
Précisément.
·
Al mismo tiempo : EN MÊME TEMPS.
·
LO
MISMO: LA MÊME CHOSE pienso lo mismo
que tú: je pensé la même chose que toi.
Et pas je pense le même.
CONNECTEURS POUR AJOUTER UNE IDÉE:
· de
plus
· en
plus
· de même,
· par
ailleurs
· également je suis également très content de
cette rencontre.
AJOUTER UN EXEMPLE :
·
Par
exemple,
·
Ainsi,
·
entre
autres,
· notamment,
TANT/SI/AUSSI/AUTANT/TELLEMENT.
1.
COMPARAISON
SIMPLE.
·
Avec
un adjectif : il est aussi fort que moi
·
Avec un adverbe : il chante aussi bien que moi
·
Avec
un verbe : il
pleut autant qu’hier
·
Avec
un nom : il a autant
de problèmes qu’avant
ON NE DIT PAS: il est tant, si fort que moi
2.
COMPARAISON
/ INTENSITÉ AVEC CONSÉQUENCE.
·
Avec
un adjectif : il est si
fort ou tellement fort qu’il a gagné
·
Avec un adverbe : il chante si bien ou tellement bien qu’il a séduit le public
·
Avec
un verbe : il
pleut tellement ou il pleut tant qu’il y a eu des inondations
·
Avec
un nom : il a
tellement de problèmes ou tant de problèmes, qu’il est stressé.
ON NE DIT PAS : il est TANT fort . il a si de problèmes ni il chante tant bien.
3.
EXCLAMATION
DÉMONSTRATIVE.
·
Avec
un adjectif : il est si
fort ! ou il est tellement fort !!!
·
Avec un adverbe : il chante si bien ou tellement bien !
·
Avec
un verbe : je
l’aime tellement ou je l’aime tant !
·
Avec
un nom : il a
tellement de chance !!
ON NE DIT PAS : il est tant fort !!!
EXERCICE :
1.
C’est
normal qu’il soit stressé, il travaille ---------------------- !
2.
Il
parle ---------------------- qu’il en est fatigant.
3.
On
n’a jamais joué ---------------------- mal, ---------------------- mal qu’il était
impossible de gagner ce soir.
4.
Vous
mangez ---------------------- vite !
LE XIXº SIÈCLE : histoire et littérature.
Tableau chrononologique .
- Les révisions sont terminées, nous allons commencer l'étude de différents points de grammaire.
- Tout d'abord , le PASSIF, lisez la fiche de grammaire et faites les exercices proposés .
LES FABLES DE LA FONTAINE.
« Maître Corbeau sur un arbre perché
tenait en son bec un fromage ….. »
« La cigale ayant chanté tout l’été….. »
En France, le mot fable est spontanément associé au nom
de La Fontaine. Il est pourtant l’auteur
de contes et de pièces de théâtre.
1. Qu'est-ce
qu'une fable ?
La fable raconte une histoire courte et drôle qui a pour but d'apprendre
quelque chose au lecteur tout en le distrayant.
· La fable est la plupart du temps un récit court avec un minimum de personnages, elle se construit sur
une opposition entre les personnages.
· Elle met en scène très classiquement des animaux afin de mieux parler aux hommes de leurs défauts.
· Elle a une visée didactique : elle apporte une morale implicite ou explicite.
· Elle met en scène très classiquement des animaux afin de mieux parler aux hommes de leurs défauts.
· Elle a une visée didactique : elle apporte une morale implicite ou explicite.
Les fables existent depuis l'Antiquité. La Fontaine
a puisé dans cette tradition ancienne, adaptant les fables d'Ésope, notamment,
ainsi que des contes orientaux. Il innove, pourtant, en les écrivant en vers.
Définition de fable : le nom de fable vient du latin
« fabula » qui
signifie :……………………….. c’est un récit imaginaire.
Chercher sur
Internet des mots de la même famille :…………………………………………………………………….
2. La structure des Fables de La Fontaine.
Les Fables sont divisées en douze
livres, parus en trois recueils.
• Le premier recueil contient la plupart des fables
connues : la Cigale et la Fourmi, le Corbeau et le Renard,
la Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf, le Rat de
ville et le Rat des champs, etc.
• Le deuxième recueil : Progressivement, les fables ne
sont plus seulement des histoires destinées à éduquer les enfants en les
amusant : elles deviennent le livre de méditation de La Fontaine.
• Le dernier recueil couronne l'ensemble : certaines
très belles fables peuvent se lire comme l'exposé poétique d'une philosophie de
l'existence.
3. Le cadre spatio-temporel
• Comme les contes, les fables sont généralement situées dans une époque
vague et dans des lieux peu déterminés (la ville, les champs).
• On y trouve pourtant certains détails de la vie du XVIIe siècle :
allusion au roi, aux courtisans et à l'Église.
Les thèmes
principaux
1. Les animaux
« Je me sers d'animaux pour instruire les hommes », écrivait
La Fontaine. Principaux acteurs des fables, les animaux parlent et
s'animent sous les yeux du lecteur. La Fontaine les peint avec des détails
expressifs, ils sont mis en scène afin de dresser une critique sociale.
2. La société
La Fontaine dresse un large panorama de la
société de son temps. Il peint à la fois les grands (le roi et les
courtisans) et les petits (les paysans, les artisans).
Le roi est critiqué : incarné par le lion, il se montre orgueilleux,
tout puissant et souvent injuste. On redoute sa cruauté ( le Lion, le
Loup et le Renard) même s'il sait parfois se montrer généreux (le Lion
et le Rat).
Le portrait des courtisans est plus négatif encore : ils sont décrits
comme des parasites, des « machinateurs d'impostures » (le Berger
et le Roi), des flatteurs (le renard dans la Cour du lion et
dans Le Lion malade et le Renard).
Les gens de la campagne sont eux aussi présents : bûcherons, bergers
et paysans pauvres peuplent les fables. La Mort et le Bûcheron donne
une excellente description de la vie paysanne du XVIIe siècle.
3. La mort
La mort constitue un thème important des fables. Elle
est généralement présentée comme inévitable, condition même de la nature.
La Fontaine propose une philosophie pour apprendre à mourir. « La
Mort ne surprend point le sage ; il est toujours prêt à partir. » La
sagesse consiste à ne pas s'inquiéter de sa mort et à profiter au mieux de la
vie.
4. L'homme
• Bien que les animaux
jouent un rôle très important, l'observation de La Fontaine porte sur
l'homme, sur sa vanité (la Grenouille qui veut se faire
aussi grosse que le bœuf), son avarice, son hypocrisie (le Corbeau et le
Renard).
Les lois qui gouvernent les hommes sont dénoncées par La Fontaine qui
regrette que les puissants, les riches, soient toujours les plus forts. La
moralité du Loup et l'Agneau est très
claire : « La raison du plus fort est toujours la
meilleure. »
• Dans l'ensemble, La Fontaine se montre pessimiste :
son univers ne présente pas beaucoup d'espoir sur l'éventuelle bonté de
l'homme.
Les techniques
1. La personnification
les animaux sont personnifiés. Le monde animal
se met ainsi à représenter la société des hommes : le lion devient une
allégorie du pouvoir ; le chat, de l'hypocrisie et la belette, de la ruse.
2. La morale de la fable.
Seules vingt fables n'ont pas de morale explicite.
Toutes les autres contiennent, à la fin, au début, au milieu de la fable, une
morale qui résume la leçon qu'on doit retenir. Cette moralité est souvent
exprimée avec rapidité : « Rien n'est si dangereux qu'un ignorant
ami »
3. La satire
La satire est un discours qui s'attaque à quelque chose
ou à quelqu'un par la moquerie. Dans les fables, de nombreux défauts humains
sont mis en cause. Mais c'est l'abus de pouvoir des forts envers
les faibles qui est le plus souvent évoqué et mis en scène. Un grand nombre de
fables présentent donc un lion, roi des animaux et figure symbolique du roi de
France, ce qui permet à La Fontaine de critiquer indirectement certains
défauts de la Cour.
4. Les vers
Les Fables sont en vers et leur mesure
fait preuve d'une grande variété : La Fontaine utilise
des vers longs (alexandrins ou décasyllabes, vers de 12 et 10 syllabes), mêlés
à des vers brefs (notamment l'hexasyllabe, vers de 6 syllabes). Il joue souvent
de ce mélange pour créer des effets de rythme, pour accélérer ou ralentir son
récit, pour le rendre vivant. L'alternance la plus courante est celle entre
l'alexandrin et l'heptasyllabe (vers de 7 syllabes).
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